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Pour une journée complète de vélo, j’ai toujours moins 2 gourdes d’eau de 500ml chacune, placées sur mon cadre. Dès que je croise un point d’eau, je les rempli. J’ai aussi dans mes sacoches toujours une voire deux bouteilles d’eau de 1,5L qui me sont utiles le soir pour la cuisine ou me permette de remplir mes gourdes quand je suis à sec.
Quand il fait très chaud
Dans des situations d’extrême chaleur avec aucun village en vue, comme ce fut mon cas dans le désert iranien, prévoir bien 5 à 6 bouteilles d’eau en plus des gourdes, à placer à l’abris du soleil. De toute façon, l’eau que vous boirez sera chaude, mais elle vous fera du bien.
En cas de forte chaleur, pensez éventuellement à utiliser des électrolytes : la transpiration vous fait évacuer beaucoup de sels minéraux et quand on fait du vélo sous le cagnard, on sue énormément au risque de se déshyrdrater et de perdre ces sels minéraux. Les électrolytes vous permettront de compenser cette perte. Cela se présente sous la forme d’un cachet effervescent, souvent aromatisé au citron.
Quand il fait très froid
Au Tadjikistan, je me suis retrouvé plusieurs fois avec mes gourdes complètement gelées. Au matin, vous pouvez aussi vous trouver bien démuni•e s’il a gelé, que vous vous trouviez dans les Alpes ou dans les hauteurs du plateau anatolien. Pensez-donc à avoir un thermos avec vous que vous remplissez d’eau chaude dès que vous le pouvez : chez des gens, le soir quand vous cuisinez, etc.
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