Il peut arriver qu’on en ai marre, qu’une région nous ennuie, qu’on ai envie de prendre un coup d’accélérateur… Si certain•e•s préfèrent s’en tenir à un strict respect du voyage by fair means, d’autres, comme moi, acceptent de parfois prendre des raccourcis et d’embarquer leur vélo dans un train, un bus, voire même un avion.
TRAINS : Tous les trains acceptent les vélos à bord, mais à des conditions différentes. Voir les différences de cas pour quelques pays d’Europe.
Je n’ai eu aucun problème en Iran, au Turkménistan ou encore au Japon. Évidemment, chaque pays a ses propres règles et l’idéal est de se rendre à l’avance en gare pour expliquer la situation, vélo à l’appui.
Parfois, il faut mettre le vélo dans un sac spécial. J’en ai trouvé un plutôt bien et très compact chez Montbell.
BUS : Se renseigner. Pour le Vietnam, contre un surcoût, il est possible de mettre le vélo en soute. Je l’ai aussi pratiqué en France et en Turquie.
AVIONS : Les règles diffèrent selon la compagnie. il est généralement recommandé de démonter entièrement son vélo, de bien dégonfler les pneus et de tout emballer bien soigneusement dans un carton à vélo, que vous pourrez trouver chez un marchand de vélo.
Un conseil : faites en sorte de n’avoir rien qui se balade dans le carton, utilisez des affaires pour bien caler les pièces fragiles et enveloppez le tout dans une bâche, comme sur la photo ci-contre.
0 commentaires