Je ne suis pas un pro de l’alimentation. Si le sujet vous préoccupe, allez voir un spécialiste. Je vous livre ici ma manière de gérer ça. Évidemment, à chacun de trouver son équilibre entre énergie nécessaire pour rouler longtemps et plaisir de se faire à manger.
Dans tous les cas, un effort physique prolongé creuse l’appétit. Toutes les 2 heures environ, vous aurez envie de vous mettre quelque chose sous la dent. Prévoyez donc un petit stock de snacks que vous pourrez gober facilement. Dans chaque pays, j’avais mon péché mignon : du Milka-TUC dans toute l’Europe de l’est, des Digestives au chocolat en Iran, des gaufrettes pralinées en Géorgie et Arménie et bien sûr, un peu partout des Snickers.
Certain•e•s ne mangent pas le midi pour éviter de se sentir lourd•e pour le reste de la journée. Au contraire, je trouve que faire une vraie pause déj, où l’on se fait à manger puis de faire une petite sieste, ça donne une petite saveur supplémentaire à la matinée de vélo et un rythme agréable à la journée. Et le soir, le moment du repas est sans doute l’un des moments les plus réconfortants de la journée.
En général, je me débrouillais pour toujours avoir des pâtes, du riz ou des lentilles que j’accommodais avec ce que je trouvais sur la route pendant la journée.
Et puis ne vous posez pas trop de questions, faites vous plaisir, c’est éliminé rapidement !
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